20 avril 2012
Dead Heads
Bon, je l'avoue, ça fait un moment que je l'ai vu et j'ai repoussé encore et toujours le moment d'en causer.
Du coup j'ai un peu zappé ce qu'il se passe dans ce film. Ce que je sais c'est que je n'en garde pas un excellent souvenir, au contraire.
En gros Dead Heads est un film qui surf sur la vague de comédies de zombie qui ont bien marché ces derniers temps : Zombieland, Shaun of the dead... Malheureusement c'est raté.
On suit deux bonhommes qui ont été zombifiés mais qui ont gardé les facultés intellectuelles d'humains normaux. L'un deux décide qu'il doit aller dire à la femme qu'il aime qu'il l'aime (bah ouais) et ils tapent donc un road trip pour aller la retrouver.
Les blagues sont lourdes, les situations qui auraient pu être cocasses sont franchement bof et bref on n'éprouve aucune compassion pour ces zombies censément sympathiques. Ajoutez à cela des vilains chasseurs de zombies volontairement rendus débiles et vous abaissez encore d'un cran la valeur intellectuelles du bouzin en faisant basculer l'humour dans du caca pipi de bas étage.
Bref, ce film est assez nul et perso j'ai pas beaucoup rigolé.
Du coup j'ai un peu zappé ce qu'il se passe dans ce film. Ce que je sais c'est que je n'en garde pas un excellent souvenir, au contraire.
En gros Dead Heads est un film qui surf sur la vague de comédies de zombie qui ont bien marché ces derniers temps : Zombieland, Shaun of the dead... Malheureusement c'est raté.
On suit deux bonhommes qui ont été zombifiés mais qui ont gardé les facultés intellectuelles d'humains normaux. L'un deux décide qu'il doit aller dire à la femme qu'il aime qu'il l'aime (bah ouais) et ils tapent donc un road trip pour aller la retrouver.
Les blagues sont lourdes, les situations qui auraient pu être cocasses sont franchement bof et bref on n'éprouve aucune compassion pour ces zombies censément sympathiques. Ajoutez à cela des vilains chasseurs de zombies volontairement rendus débiles et vous abaissez encore d'un cran la valeur intellectuelles du bouzin en faisant basculer l'humour dans du caca pipi de bas étage.
Bref, ce film est assez nul et perso j'ai pas beaucoup rigolé.
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6 novembre 2011
Zombie Story, tome 1 : Zombie Island
Les livres de zombie sont très à la mode en ce moment, c'est facile à écrire, ça se vend bien et ça coute pas bien chers à produire, alors tout le monde s'engouffre dans la brèche.
Pour le meilleur et pour le pire. Souvent le pire d'ailleurs.
C'est un peu le cas pour ce bouquin. Bon je vais pas dire que c'est une merde sans nom, mais franchement c'est pas terrible terrible.
Déjà la narration à la première personne est perturbante, je ne la trouve pas du tout adaptée à une histoire de zombie. Ensuite le personnage principal est limite emmerdant, avec ses airs de sainte-nitouche alors qu'il est entouré de zombies putain ! Le mec est bourré de bons sentiments très vite exaspérants.
Ajoutez à celà l'histoire parallèle qui aurait pût être sympa, mais qui finalement s'avère peu creusée et pleine d'entourloupes irréalistes destinées trop visiblement à expliquer des choses vagues dont on se fout un peu. Depuis quand des momies peuvent revenir sous forme zombie ? Non mais franchement ? Et pourquoi pas des loups-garous zombies aussi ?
Bref j'ai moyennement accroché, j'ai un peu dû me forcer pour le terminer et j'en ai pas ressenti de plaisir particulier.
Le 2em tome, Zombie Nation, quand à lui commence déjà un peu mieux !
Ha, juste pour le buzz, le type qui a écrit ça l'a d'abord publié sur un blog avant de se faire éditer, un pur produit d'internet quoi. (Parfois on se dit que ça ferait mieux d'y rester).
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5 novembre 2011
Pontypool
Tiens, j'avais commencé ce billet sans jamais le terminer et pourtant ce film est génial !
Si vous ne l'avez pas vu, choppez-le, achetez-le, volez-le, mais matez-le !
Voilà, c'est dit.
Pour l'histoire, on suit un ancien présentateur vedette de radio qui se retrouve à présenter une émission minable dans un bled minable. Notoirement alcoolique il a tendance à faire et dire n'importe quoi, juste pour faire chier, ce qui lui attire quelques remontrances de sa direction mais lui assure une audience au beau fixe auprès des habitants de la petite ville de Pontypool.
Un beau jour de routine, des signes que quelque chose d'anormal se produit dehors commencent à affluer dans les locaux de la radio. Isolés du monde, les quelques occupants du studio reçoivent les informations au compte goutte. La tension monte peu à peu au fur et à mesure que des informations de plus en plus dramatiques arrivent, pour finalement exploser à la fin.
Là où le film est très fort c'est qu'on ne voit quasiment aucun zombies, la tension est là, simplement causée par les annonces successives qui arrivent et par le jeu des acteurs qui il faut bien l'avouer s'en sortent à merveille, peu nombreux, ils tiennent le film à bout de bras et arrivent à nous tenir en haleine alors qu'il ne se passe rien de spécial dans le studio.
Un très bon film qui joue avec nos cerveaux et s'en sort très bien, à voir !
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4 novembre 2011
Rammbock
Un film de zombie allemand, ce n'est pas si courant, du coup ça vaut le coup de se pencher dessus.
Rammbock est un moyen métrage si on peut dire (1h04 au compteur) mais franchement on n'a pas l'impression tellement il est dense et bien foutu !
Au programme, un jeune homme follement amoureux de son ex revient à Berlin pour essayer de la reconquérir. A peine arrivé, une épidémie zombie se déclenche. Coincés dans l'immeuble avec des zombies qui tapent à leurs portes, les habitants vont tout faire pour essayer de s'en sortir, même si forcement ils auront plutôt tendance à se tirer dans les pattes qu'à s'entre-aider.
Rammbock est plutôt réaliste, il insiste beaucoup sur les différentes réactions que pourraient avoir les gens en cas d'attaque de zombies, du pleutre qui se cache à celui qui essaye de s'en sortir par tous les moyens, jusqu'au salopard qui n'hésitera pas à abandonner tout le monde en fâcheuse posture juste pour se tirer.
L'environnement clos de l'immeuble crée une atmosphère bien particulière finement exploitée, cette attente insoutenable des secours qui ne viendront jamais, la voisine que l'on connait depuis toujours qui veut nous arracher la tête, le manque d'ustensiles utiles dans ce genre de situation dans nos appartements...
C'est franchement bien foutu et on en demanderait bien un peu plus, mais ainsi est fait le film et franchement c'est un bonheur !
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3 novembre 2011
Zombie of Mass Destruction
J'ai mis un bon moment avant de me décider à regarder Zombie of Mass Destruction, d'abord parce que l'affiche est très moche, ensuite parce que la comédie de zombie ça peut très vite être de la merde en boite et n'être finalement pas très marrant.
Mais comme ça faisait très longtemps que je n'avais pas écrit sur ce blog, je me suis dit qu'il était de mon devoirs de le regarder.
Et j'ai plutôt bien fait !
Malgré mes réticences initiales, dû entre autre au fait que ce soit un After Dark (souvent synonyme de bouze) je me suis accroché. Le début a été un peu pénible, les acteurs sont plutôt peu convaincants, mais heureusement on rentre assez rapidement dans le vif du sujet.
Le film prend le partie de la grosse comédie qui tâche, du coup tous les personnages sont des caricatures en puissance : le couple de gays qui déboule sur une île de puritains, l'iranien qui tient un restaurant et qui évidemment se fait traiter d'irakien par les rednecks du coin, les fous de Dieu qui pensent qu'ils subissent une punition divine et doivent tuer tous les infidèles...
C'est limite trop, un peu lourd par moment tellement la caricature est poussée et pas très fine, mais bon, on s'y fait.
Quand les zombies attaquent ça devient relativement marrant, les perso ont des réactions incohérentes pour la plupart, l'apothéose étant le débile profond qui croit à une attaque terroriste et qui tortue une pauvre fille qui n'y est pour rien, lui faisant chanter l'hymne américain pour vérifier si elle est ou non une terroriste zombie.
Pas mal de gore bien dégueulasse que n'aurait pas renié Peter Jackson dans son Brain Dead, c'est mal fait, mais ils poussent le bouchon assez loin et du coup on se surprend à se dire que c'est vraiment dégueulasse.
Dans l'ensemble c'est donc plutôt moyen, mais le fun y est et c'est bien là le principal !
Mais comme ça faisait très longtemps que je n'avais pas écrit sur ce blog, je me suis dit qu'il était de mon devoirs de le regarder.
Et j'ai plutôt bien fait !
Malgré mes réticences initiales, dû entre autre au fait que ce soit un After Dark (souvent synonyme de bouze) je me suis accroché. Le début a été un peu pénible, les acteurs sont plutôt peu convaincants, mais heureusement on rentre assez rapidement dans le vif du sujet.
Le film prend le partie de la grosse comédie qui tâche, du coup tous les personnages sont des caricatures en puissance : le couple de gays qui déboule sur une île de puritains, l'iranien qui tient un restaurant et qui évidemment se fait traiter d'irakien par les rednecks du coin, les fous de Dieu qui pensent qu'ils subissent une punition divine et doivent tuer tous les infidèles...
C'est limite trop, un peu lourd par moment tellement la caricature est poussée et pas très fine, mais bon, on s'y fait.
Quand les zombies attaquent ça devient relativement marrant, les perso ont des réactions incohérentes pour la plupart, l'apothéose étant le débile profond qui croit à une attaque terroriste et qui tortue une pauvre fille qui n'y est pour rien, lui faisant chanter l'hymne américain pour vérifier si elle est ou non une terroriste zombie.
Pas mal de gore bien dégueulasse que n'aurait pas renié Peter Jackson dans son Brain Dead, c'est mal fait, mais ils poussent le bouchon assez loin et du coup on se surprend à se dire que c'est vraiment dégueulasse.
Dans l'ensemble c'est donc plutôt moyen, mais le fun y est et c'est bien là le principal !
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4 mai 2011
Mulberry Street
Mulberry Street (oui on sait pas trop pourquoi ils ont mis "contamination" sur l'affiche...) avait tout pour plaire.
Dans un quartier pourri de Manhattan, les habitants d'un petit immeuble voué à la démolition font de la résistance. Rapidement, une épidémie véhiculée par les rats transforme tout le monde en espèce de zombie-rat qui mangent tout le monde.
Miam ! Des rats-zombie, rien que pour ça ça avait l'air chouette ! Et ben non... C'est nul.
Entre le jeu d'acteur absolument nul, des personnages tous plus creux les uns que les autres, les déambulations contemplatives de la fille qui rentre d'Irak mais qui sert à rien... Bref y a pas grand chose à en tirer.
J'ai vraiment été très déçu pour le coup, je m'attendais vraiment à un truc chouette. Un conseil, la prochaine fois que vous voyez un film estampillé "After Dark Horror Fest", fuyez le comme la peste, c'est souvent signe d'une daube.
Dans un quartier pourri de Manhattan, les habitants d'un petit immeuble voué à la démolition font de la résistance. Rapidement, une épidémie véhiculée par les rats transforme tout le monde en espèce de zombie-rat qui mangent tout le monde.
Miam ! Des rats-zombie, rien que pour ça ça avait l'air chouette ! Et ben non... C'est nul.
Entre le jeu d'acteur absolument nul, des personnages tous plus creux les uns que les autres, les déambulations contemplatives de la fille qui rentre d'Irak mais qui sert à rien... Bref y a pas grand chose à en tirer.
J'ai vraiment été très déçu pour le coup, je m'attendais vraiment à un truc chouette. Un conseil, la prochaine fois que vous voyez un film estampillé "After Dark Horror Fest", fuyez le comme la peste, c'est souvent signe d'une daube.
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